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Journal de confinement

Nous sommes nombreux à vivre cette situation de confinement depuis plusieurs semaines maintenant. Et chez Florès, nous avons bien conscience que nous ne sommes pas à plaindre ! En quelques lignes, voilà comment nous vivons cette situation inédite, et comment nous avons dû nous adapter…

Nous nous souviendrons tous de cette année 2020… Elle a « commencé » par le nouvel an chinois, et des informations lointaines d’un pays lointain, où l’on exigeait de chaque citoyen de rester confiné. Étrange idée…

Plus de bises !

Fin janvier, le premier cas de contamination directe dans notre pays est observé. Le COVID 19 est là, il fait parler. Première conséquence chez Florès : plus de bises mais un salut de loin, tout aussi convivial. Rien de bien méchant !

Mais la pression monte, doucement, sûrement, même si nous n’y croyons pas encore… Nous décidons déjà de nous rendre au bureau seulement en cas de nécessité, pour les points entre chargé-e d’études et chef de projet.

Lundi 9 mars… le bureau est vide, ou presque, je m’y sens un peu seule…

Et puis tout s’accélère. Annonce du gouvernement de fermer les écoles, collèges, lycées, et universités, suivi quelques jours plus tard de l’annonce du confinement, attendu mais redouté. Pas de problème, le télétravail n’a pas de secret pour nous ! On se sent un peu seul-e, alors, on s’envoie des musiques d’ambiance, la photo de notre poste de travail, et l’activité continue…

Pas si simple pourtant… Les annulations de réunions tombent : réunions de lancement pour des nouvelles missions, COPIL de validation de préprogramme ou faisabilité, visites techniques, etc… Quelques réunions peuvent se tenir par audio ou visio conférence, mais si peu.

Chômage technique partiel

Les études sont à l’arrêt, les appels d’offres en cours décalés, les décisions de nos maîtres d’ouvrages ne peuvent plus être prises,… On compte et on recompte les missions qui peuvent encore avancées : qui va être occupé, qui n’aura plus ou pas d’activités dans quelques jours ? Malgré une forte volonté de continuer, et l’organisation adéquate, il faut se rendre à l’évidence.

Nous sommes dans l’obligation de déclencher un chômage technique partiel, avec un taux d’activité de 20% au mois d’avril, c’est une question de survie !

Sage décision, car nous pourrons reprendre dés le confinement levé, avec tout notre enthousiasme et notre envie de vous accompagner dans vos projets !

Dans l’attente, nous restons en veille pour répondre à vos sollicitations. Et surtout, nous restons une équipe soudée, avec une connexion de toute l’équipe une fois par semaine, pour prendre des nouvelles, et se soutenir dans ses moments difficiles !

Mais n’oublions pas le principal : « Sauvons des vies, restons chez nous ! »

F.G.